Elle arrive sur la place longue, qui va se rétrécissant jusqu'à l'église.
Maintenant elle ne regarde plus que la chétive habitation
posée à l'endroit le plus étroit, là-bas, en face de la porte latérale
par où, le dimanche, entrent les fidèles. C'est tout petit :
une fenêtre sur la place, une autre sur une ruelle descendante,
un perron d'angle de trois marches. C'est très ancien,
bâti sous la volée des cloches, sous l'ombre du clocher.
René Bazin - La terre qui meurt